Ce sont des images, photographiques, mais images avant tout.
Elles naissent d'un métissage ; celui des références
iconographiques d 'une
occidentale judéo-chrétienne moyenne, avec les
myriades de sensations, d 'états
de corps qu'elle éprouve au contact du monde.
Le corps est présenté a une échelle proche
de sa taille réelle, il s'adresse à celui du spectateur.
Ce sont les traces photographiques de moments pleinement vécus,
des situations naïves, absurdes, peut-êfre morbides,
toujours intimes.
Le corps tend vers la mort, vive le corps...
Stéphanie d'Amiens d'Hébécourt, février
2001.